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Walter Red

Peux-tu vous présenter, toi et ton (tes) livre(s) ?

Walter Red, auteur. Mon pseudo est un mixte de deux de mes hobbies. Walter, pour le personnage de série TV, Walter White le protagoniste de la série « Breaking Bad ». Red pour le club de foot Liverpool FC.
« Tueur de l’ombre » est mon 1er roman. Un thriller centré sur le tueur en série nommé Michael Moreau. C’est un photographe qui profite de ses pérégrinations pour commettre ses meurtres, à chacun de ses crimes, il suit le même rituel.

Actuellement, je travaille sur mon 2nd roman qui s’intitule « Sans issue ». Je préfère ne pas trop en dire pour le moment.

PS : Mon roman « Tueur de l’ombre » est disponible GRATUITEMENT sur Wattpad, si le livre vous tente, il est en vente sur le site de mon éditeur bookelis et sur toutes plateformes comme Amazon, Decitre… mais aussi en librairie.

Pourquoi avoir choisi l'autoédition?

Dans un premier temps, j’ai essayé d’être publié par des maisons d’éditions réputées comme Albin Michel, Bayard et compagnie.

Malheureusement, j’ai essuyé que des refus pour diverses raisons. Soit ils n’étaient pas intéressés, soit ça ne correspondait pas à leur ligne éditoriale.

Dans un second temps, j’ai envoyé mon manuscrit à des maisons d’éditions à compte d’auteur (structures que je ne connaissais pas) leurs offres ne me convenaient pas.
C’est à ce moment-là que je me suis tourné vers l’autoédition et plus particulièrement Bookelis, l’expérience me plaît bien. C’est donc un mal pour un bien.

Ton (tes) livre(s) est (sont) sous quel format? (papier, numérique, les deux ?) Pourquoi ?

Mon livre est disponible uniquement en format papier. Dans un format particulier, demandé par mes soins à mon éditeur (Bookelis). C’est gabarit A4. Un papier souple mais peu fréquent en ce qui concerne la publication des livres. J’ai fait ce choix parce qu’à l’image ça rendait bien, et il s’avère qu’au toucher c’est agréable également.

Comment fais-tu ta promotion ?

Ma promotion, je la fait principalement sur les réseaux sociaux. En tweetant régulièrement les liens qui renvoient sur des sites où mon roman est disponible.

Sinon, j’ai aussi déposé des affiches dans différents commerces. J’en ai parlé à des professionnels du livre. Il y a également le bouche à oreille.

Parlons argent : ça t’a coûté combien, environ ? Promo comprise.

Faire autoéditer mon roman via Bookelis,  ça m’a coûté 95€. Il faut savoir qu’ils proposent plusieurs formules.

Je considérais que je n’avais pas besoin d’une correction ou d’une mise en page particulière.

Est-ce que tu gagnes de l’argent avec ton (tes) ouvrage(s) ?

J’ai vendu une quinzaine de livres et ça m’a rapporté 33,40€. C’est pas fabuleux mais ça a le mérite d’avoir épongé une partie de mes frais de financement.

Il faut savoir que sur Bookelis, on peut suivre l’évolution de nos ventes, mois après mois. Tous les 15, ils remettent les chiffres à jour.

Est-ce que tu as un autre travail en plus de celui d’auteur/autrice ?

Comme dit plus haut, je bosse dans une ets publique qui a pour but de relancer les personnes coupées du travail. On a la possibilité de faire des stages et j’en ai effectué dans des librairies et bibliothèques. Je pense à faire une formation pour travailler dans l’univers de la bibliothèque à l’avenir. Tout ce qui attrait à la littérature me fascine, me passionne.

Pour une première auto-édition, tu penses qu’il vaut mieux le premier tome d’une saga ou un one-shot?

Perso, mon roman « Tueur de l’ombre » est un one-shot.

Ce qui vaut le mieux, je pense qu’il y avantage/inconvénient pour les deux.

Si tu sors une saga, ça peut attirer les gens et leur donner envie de suivre l’évolution.

Est-ce que tu as dû mettre ton adresse sur la couverture ?

Je n’ai pas eu besoin d’indiquer mon adresse sur la couverture du livre. Par contre, j’ai fourni des informations personnelles sr le site de l’éditeur, Bookelis.
Comme un RIB, mon vrai nom, mon adresse… Ce qui est assez logique.

Comment as-tu choisi ta plate-forme d’auto-édition ?

Pour choisir ma plateforme d’auto-édition, j’en ai consulté plusieurs. J’ai comparé leurs offres, leurs outils et Bookelis m’a paru être celle qui me correspondait le mieux.

Ce qui a été le plus dur pour toi dans ce processus ? Pourquoi ?

Ce qui a été le plus dur pour moi, ça a été de franchir le cap. Honnêtement, je pensais à trouver un « vrai » éditeur, je me suis tourné vers l’auto-édition, dont je ne connaissais pas le concept, par défaut. Et au final, je ne regrette pas.

LE conseil ultime à donner pour un auteur qui veut se lancer dans l’autoédition :

Le seul conseil que j’aurais à donner à un auteur qui se lance, ce serait de foncer, l’auto-édition peut convenir à chacun.

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